Galadriel GESTIN - Paranoïd painting
Oeuvres
Oeuvres
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1911- L’aubade de l’orchidée fauve + Toujours avoir un peu de sang dans la bouche + Thème de la soirée (dessin sur photo de bodypainting)
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1909- On se verra dans la prochaine vie + De tendres fleurs aux tendres pensées + Extrasystole (Diptych)
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1908- A fleur de langue + La voix octarine résonne et ma peau frissonne (dessin sur photo de bodypainting)
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1905- Je nais, je meurs, mais l’entre deux est à moi. Je suis à moi + Quelques gouttes de sang pour le chapelet de perles sur la peau
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1907-S’enivrer de la rosée de sa bouche + J’habite mon coeur, je voyage avec ma maison et j’y ai laissé une fenêtre ouverte + Prendre son mâle en patience
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1904- Ce qui est derrière moi + Skin cravings + Morning call
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1903- Un couché de soleil derrière mes yeux + Des couleurs si vives puis des mots qui fanent +Comme des perles sur du sable fin (Diptych)
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1902- Sesame syrup + Hold you here my loveliest friend (acrylique sur photo de bodypainting)
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1899- Sauter dans le vide le sourire aux lèvres + Partager le temps +Le mystère de l’ananas + Test et personnalité (acrylique sur photo de bodypainting)
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1883- Muse et 3 possibilités pour un triptyque + Sans aucun prétexte + Canniman + Une lourde pluie sur des heures colossales
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1849- Je ne veux plus jamais lire dans tes pensées, mon Dieu! + Voix 19: ” Bah alors, je croyais que tu allais peindre des fleurs toutes simples pendant quelques temps parce que je cite: ” Bouhou…je pleure …ça a été trop dure…j’ai failli devenir dingue blablabla.” Voix 4: “Heu…comment dire. Juste…ta gueule!”
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1850- Le festin nu + C’est comme apprendre une nouvelle langue
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1851-Je ne sais plus où tu commences et où je finis + Libre en sachant que tout finira un jour
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1892-En pleine tempête de pornésie + Ces doigts qui marchent, sautillent et courent sur moi….. vous et votre ballet miniature (acrylique et crayon sur papier(31,5cm.24cm).jpeg
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1894- Si je ne sais pas où je suis c’est que tu dois savoir où tu es + La face cachée quand les cloches sonnent rue Meuris
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1897- La fleur qui en disait trop et la fleur qui y entendait trop + Mon coeur s’emballe sous cette vison tonitroublante et bruillante + Construire notre propre language et voler haut (acrylique sur papier(31,5cm.24cm))
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